Un site dans son paysage : une analyse archéologique
Laurent Bruxelles
(1, 2, 3)
,
Romain Mensan
(1)
,
Marie-Laure Derat
,
Claire Bosc-Tiessé
,
François-Xavier Fauvelle
(1, 4)
1
TRACES -
Travaux et recherches archéologiques sur les cultures, les espaces et les sociétés
2 Inrap, Nîmes - Institut national de recherches archéologiques préventives - Centre de recherches archéologiques de Nîmes
3 GAES - School of Geography, Archaeology and Environmental Studies [Johannesburg]
4 Collège de France - Chaire Histoire et archéologie des mondes africains
2 Inrap, Nîmes - Institut national de recherches archéologiques préventives - Centre de recherches archéologiques de Nîmes
3 GAES - School of Geography, Archaeology and Environmental Studies [Johannesburg]
4 Collège de France - Chaire Histoire et archéologie des mondes africains
Laurent Bruxelles
- Fonction : Auteur
- PersonId : 171314
- IdHAL : laurent-bruxelles
- ORCID : 0000-0002-7174-2111
- IdRef : 06956163X
Marie-Laure Derat
- Fonction : Auteur
- PersonId : 184080
- IdHAL : marie-laure-derat
- ORCID : 0000-0002-6890-5629
- IdRef : 074466135
Claire Bosc-Tiessé
- Fonction : Auteur
- PersonId : 924786
Résumé
Lieu de pèlerinage pour les chrétiens d’Éthiopie, le site de Lalibela est mondialement connu pour son complexe d’églises taillées dans une roche de couleur rouge sous le niveau du sol. Perchés à 2 500 mètres d’altitude sur les hauts plateaux de l’Éthiopie septentrionale, les monuments se répartissent en trois groupes dans lesquels s’enchevêtrent églises, passages souterrains et à ciel ouvert, cours et salles troglodytes. L’ensemble est communément attribué au souverain qui porte le même nom, le roi Lālibālā, dont on sait avec certitude qu’il régnait durant le premier tiers du XIIIe siècle. Codirectrices de la mission franco-éthiopienne de recherche à Lalibela, Claire Bosc-Tiessé et Marie-Laure Derat livrent ici, avec leur équipe, une synthèse des études historiques menées sur la région et posent les principes d’une méthodologie archéologique spécifiquement développée pour ce site rupestre, à la fois témoin géologique exceptionnel et haut lieu du christianisme éthiopien depuis le XIIIe siècle. Comprendre les raisons d’une implantation royale à Lalibela sans disposer de textes se rapportant à la région avant et pendant le règne de Lālibālā ; déployer sur le site un regard archéologique sans avoir accès à des niveaux stratigraphiques ; croiser histoire et archéologie afin d’amplifier la force du signal témoignant de la vie du site et de son inscription dans un contexte régional, royal, puis fédéral ; telles sont les gageures des recherches menées à Lalibela et exposées ici.
Format du dépôt | Notice |
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Type de dépôt | Chapitre d'ouvrage |
Résumé |
en
Lieu de pèlerinage pour les chrétiens d’Éthiopie, le site de Lalibela est mondialement connu pour son complexe d’églises taillées dans une roche de couleur rouge sous le niveau du sol. Perchés à 2 500 mètres d’altitude sur les hauts plateaux de l’Éthiopie septentrionale, les monuments se répartissent en trois groupes dans lesquels s’enchevêtrent églises, passages souterrains et à ciel ouvert, cours et salles troglodytes. L’ensemble est communément attribué au souverain qui porte le même nom, le roi Lālibālā, dont on sait avec certitude qu’il régnait durant le premier tiers du XIIIe siècle. Codirectrices de la mission franco-éthiopienne de recherche à Lalibela, Claire Bosc-Tiessé et Marie-Laure Derat livrent ici, avec leur équipe, une synthèse des études historiques menées sur la région et posent les principes d’une méthodologie archéologique spécifiquement développée pour ce site rupestre, à la fois témoin géologique exceptionnel et haut lieu du christianisme éthiopien depuis le XIIIe siècle. Comprendre les raisons d’une implantation royale à Lalibela sans disposer de textes se rapportant à la région avant et pendant le règne de Lālibālā ; déployer sur le site un regard archéologique sans avoir accès à des niveaux stratigraphiques ; croiser histoire et archéologie afin d’amplifier la force du signal témoignant de la vie du site et de son inscription dans un contexte régional, royal, puis fédéral ; telles sont les gageures des recherches menées à Lalibela et exposées ici.
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Titre |
fr
Un site dans son paysage : une analyse archéologique
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Auteur(s) |
Laurent Bruxelles
1, 2, 3
, Romain Mensan
1
, Marie-Laure Derat
, Claire Bosc-Tiessé
, François-Xavier Fauvelle
1, 4
1
TRACES -
Travaux et recherches archéologiques sur les cultures, les espaces et les sociétés
( 44675 )
- Maison de la Recherche, 5 allée Antonio Machado 31058 TOULOUSE Cedex 9
- France
2
Inrap, Nîmes -
Institut national de recherches archéologiques préventives - Centre de recherches archéologiques de Nîmes
( 388046 )
- 561 Rue Etienne Lenoir. 30900 Nîmes
- France
3
GAES -
School of Geography, Archaeology and Environmental Studies [Johannesburg]
( 57781 )
- 1 Jan Smuts Avenue, Braamfontein 2000, Johannesburg, South Africa
- Afrique du Sud
4
Collège de France - Chaire Histoire et archéologie des mondes africains
( 1043878 )
- 11 place Marcelin Berthelot F-75231 Paris Cedex 05
- France
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Titre de l'ouvrage |
Lalibela, site rupestre chrétien d’Ethiopie
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Lieu de publication |
Toulouse
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URL éditeur |
https://pum.univ-tlse2.fr/~Lalibela-site-rupestre-chretien-d~.html
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Langue du document |
Français
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ISBN |
78-2-8107-0663-1
|
Vulgarisation |
Non
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Audience |
Internationale
|
Date de publication |
2019
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Domaine(s) |
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Éditeur commercial |
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Éditeur scientifique |
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Collaboration/Projet |
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