« C’est du chinois ? Eh bien le chinois ça s’apprend ! » Quelles organisations collectives pour formaliser l’archéologie ? (1950–2000) - HAL Accéder directement au contenu
Communication dans un congrès Année : 2015

« C’est du chinois ? Eh bien le chinois ça s’apprend ! » Quelles organisations collectives pour formaliser l’archéologie ? (1950–2000)

Résumé

Cette présentation porte sur un travail de recherche doctoral en cours, consacré à la formalisation en sciences humaines depuis la seconde guerre mondiale. Je l’aborde à partir du cas de l’archéologie. Cette enquête développe trois axes d’analyse : une sociolinguistique des langages formels, l’analyse des dynamiques de l’innovation scientifique et une sociologie des formes collectives de ces activités (spécialités, disciplines) et de leur dimension internationale. Trois cas contemporains sont étudiés : le groupe de la typologie analytique mené par le préhistorien Georges Laplace (1918-2004), les projets et institutions d’automatique documentaire successivement établies et dirigées par l’archéologue orientaliste Jean-Claude Gardin (1925-2013) et, enfin, les activités d’enseignement et de développements logiciels menés par le préhistorien américaniste Jean Lesage (1923-2004).
Loading...
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-03140703, version 1 (13-02-2021)

Licence

Paternité - Pas d'utilisation commerciale - CC BY 4.0

Identifiants

  • HAL Id : hal-03140703 , version 1

Citer

Sébastien Plutniak. « C’est du chinois ? Eh bien le chinois ça s’apprend ! » Quelles organisations collectives pour formaliser l’archéologie ? (1950–2000). Colloque de la Société Française pour l’Histoire des Sciences de l’Homme, Nov 2015, Paris, France. ⟨hal-03140703⟩
42 Consultations
0 Téléchargements
Dernière date de mise à jour le 07/04/2024
comment ces indicateurs sont-ils produits

Partager

Gmail Facebook Twitter LinkedIn Plus