L’anomie temporelle : une possibilité d’émancipation par la transgression du temps institution ? - HAL-SHS - Sciences de l'Homme et de la Société Accéder directement au contenu
Communication Dans Un Congrès Année : 2014

L’anomie temporelle : une possibilité d’émancipation par la transgression du temps institution ?

Résumé

Cette contribution propose de revenir sur les travaux ayant mis en évidence l'idée que le temps, plus qu'une abstraction neutre, n'est en fait qu'une construction sociale qui n'est pas vide d'idéologie et semble ainsi être un enjeu de rapports de forces. La validité de la catégorisation des temps sociaux, catégories plus perméables qu'il n'y paraît, sera interrogée au prisme de la diminution progressive du temps de travail, de l'accélération de la diffusion de l'information et de l'augmentation du temps de transports. Devant l'accélération des technologies de l'information et l'augmentation du temps de loisirs, en particulier, tout laisse présager la possibilité pour les acteurs « d'avoir le temps », alors que l'on semble toujours « en manquer ». Ne serions-nous pas alors en face d'une mutation induisant un nouveau rapport au temps ?
* Posté par Antoine Ayraud, mis à jour le 21 mai 2015, http://www.gripic.fr/page/lanomie-temporelle-possibilite-demancipation-par-transgression-temps-institution (consulté le 12/12/2019).
Fichier non déposé

Dates et versions

halshs-02301857 , version 1 (30-09-2019)

Identifiants

  • HAL Id : halshs-02301857 , version 1

Citer

Simon Le Roulley. L’anomie temporelle : une possibilité d’émancipation par la transgression du temps institution ?. Colloque Travail et Loisirs ou comment le travail se transforme par et dans le divertissement et comment le divertissement se requalifie en travail, GRIPIC - CELSA; Université Paris-Sorbonne, Jun 2014, Paris, France. ⟨halshs-02301857⟩
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