Il était urgent de démêler les confusions et réduire la part des invraisemblances dans l’historiographie grandmontaine. Ce nettoyage critique a fait émerger des pistes mal explorées, issues d’une compilation de 1585. Sur le site principal étaient conservés, près de deux lanternes des morts, des inscriptions lapidaires, sceaux et autres « souvenirs » célébrant des bienfaiteurs dont peu étaient enterrés sur place : une centaine de familles, de la très petite aristocratie locale jusqu’aux princes régnants (Angleterre, Champagne et Lusignan notamment).