Utrum sapienti competat prolem habere? An Italian debate
Résumé
This paper considers fourteenth-century Italian debates on the burden of fatherhood. Drawing on the classic topos of the inconvenience of marriage for a philosopher that was revived in the twelfth century by Heloise, around 1300, lay Italian intellectuals who were all married and generally had children, in Padua and Arezzo, would rather discuss whether it was convenient or not to have a descent. The actual practices in Italian universities in the fourteenth century suggest that it could prove extremely rewarding.
Convient-il au savant d’avoir des enfants ? Reprenant et déplaçant des arguments classiques concernant l’indignité du mariage pour un philosophe, des cercles de lettrés laïcs italiens, autour de 1300, à Padoue et Arezzo, tous mariés et généralement pourvus d’une progéniture, s’interrogent sur les bienfaits et les désagréments de la paternité. Les pratiques qu’on observe dans les universités italiennes du quatorzième suggèrent que cette situation pouvait comporter des avantages évidents.
Domaines
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