A new aesthetic of living things: The point of view of the animal and the river to change perceptions and the ecosystem
Une nouvelle esthétique du vivant : Le point de vue de l’animal et du fleuve pour changer les perceptions, et l’écosystème
Résumé
How do the semantic and anthropological shifts created by looking at African and Maori mythologies, as well as literature, lead to a different representation of the contemporary world, implying a new relationship with the ecosystem and tourism? This question will enable us to take an eco-aesthetic approach, based on eco-narratives, in connection with “living things”, a notion that is complex to define and stabilize. Methodology: We will carry out a content analysis, a study of symbolic connotations (in myths and beliefs in Senegal), a study of enunciation and the animal perspective, as well as of catastrophe in literature. This leads us to question mediality (i.e., the relation of being to the world, by positing another meaning). Could this be a new paradigm for the action of being alive (Agamben, 2013)? If so, would new gestures be necessary?
Corpus: The corpus is composed of two dimensions: myths and literature, the latter revealing the question of the mediality of the living and the meaning to be given to it. We'll be looking at myths about water, land and animals in Senegal (and tourism in the Unesco-labeled Djoudj Bird National Park (PNOD) and Saloum Delta (DS)).
And, in contemporary literature, we'll be looking at texts by Éric Chevillard, and projections by Alain Damasio.
The aim is to reconsider the living, in all its forms, in order to foster a new relationship with the ecosystem and transform meaning, by off-centering the human.
Corpus: The corpus is composed of two dimensions: myths and literature, the latter revealing the question of the mediality of the living and the meaning to be given to it. We'll be looking at myths about water, land and animals in Senegal (and tourism in the Unesco-labeled Djoudj Bird National Park (PNOD) and Saloum Delta (DS)).
And, in contemporary literature, we'll be looking at texts by Éric Chevillard, and projections by Alain Damasio.
The aim is to reconsider the living, in all its forms, in order to foster a new relationship with the ecosystem and transform meaning, by off-centering the human.
Comment les déplacements sémantiques et anthropologiques, créés par le regard sur les mythologies africaines et maoris, comme sur la littérature, entraînent-ils une représentation autre du monde contemporain, impliquant un nouveau rapport à l’écosystème et au tourisme ? Cette question permettra d’investir une approche éco-esthétique, à partir d’éco-narrations, en lien avec un « vivant », notion complexe à définir et à stabiliser. Méthodologie : Nous procèderons à une analyse de contenu, à une étude des connotations symboliques (dans les mythes et les croyances au Sénégal), à l’étude de l’énonciation et de la perspective animale, comme de la catastrophe dans la littérature. Cela nous conduit à nous interroger sur la médialité (c’est-à-dire sur la relation de l’être au monde, en posant un autre sens). S’agirait-il d’un nouveau paradigme concernant l’action d’être vivant (Agamben, 2013) ? Dans ce cas, de nouveaux gestes seraient-ils nécessaires ?
Corpus : Le corpus est composé de deux dimensions : les mythes et la littérature, ceux-ci révélant la question de la médialité du vivant et du sens à lui donner. On observera les mythes concernant l’eau, la terre, les animaux au Sénégal (et le tourisme dans les parcs nationaux protégés sous label Unesco, celui des oiseaux de Djoudj (PNOD) et le Delta du Saloum (DS)). Et, dans la littérature contemporaine, seront analysés les textes d’Éric Chevillard, et les projections d’Alain Damasio.
Il s’agit de reconsidérer le vivant, sous toutes ses formes, afin de susciter une nouvelle relation à l’écosystème afin de transformer le sens, en excentrant l’humain.
Corpus : Le corpus est composé de deux dimensions : les mythes et la littérature, ceux-ci révélant la question de la médialité du vivant et du sens à lui donner. On observera les mythes concernant l’eau, la terre, les animaux au Sénégal (et le tourisme dans les parcs nationaux protégés sous label Unesco, celui des oiseaux de Djoudj (PNOD) et le Delta du Saloum (DS)). Et, dans la littérature contemporaine, seront analysés les textes d’Éric Chevillard, et les projections d’Alain Damasio.
Il s’agit de reconsidérer le vivant, sous toutes ses formes, afin de susciter une nouvelle relation à l’écosystème afin de transformer le sens, en excentrant l’humain.