Le genre en contexte postcolonial. Traduction et réception françaises
Maxime Cervulle
(1)
,
Karima Ramdani
(2)
,
Anne Castaing
(3)
,
Elodie Gaden
(4)
,
Cornelia Möser
(5, 6, 7)
1
CEMTI -
Centre d'études sur les médias, les technologies et l'internationalisation
2 Cresppa-GTM - Genre, Travail, Mobilités
3 CEIAS - Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud
4 Université Stendhal - Grenoble 3 - UFR des lettres et arts
5 CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
6 CRESPPA - Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris
7 CMB - Centre Marc Bloch
2 Cresppa-GTM - Genre, Travail, Mobilités
3 CEIAS - Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud
4 Université Stendhal - Grenoble 3 - UFR des lettres et arts
5 CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
6 CRESPPA - Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris
7 CMB - Centre Marc Bloch
Maxime Cervulle
- Fonction : Auteur
- PersonId : 1227635
- IdHAL : maxime-cervulle
Anne Castaing
- Fonction : Auteur
- PersonId : 10719
- IdHAL : anne-castaing
- IdRef : 079201687
Elodie Gaden
- Fonction : Auteur
- PersonId : 865225
Cornelia Möser
- Fonction : Auteur
- PersonId : 1059045
- IdHAL : cornelia-moser
- ORCID : 0000-0001-9629-6536
- IdRef : 169668118
Résumé
Anne Castaing et Élodie Gaden : Dans un article intitulé « Theory et bricolage : confessions d’une traductrice », Françoise Bouillot revient, non sans humour, sur « deux ou trois points généraux dans l’océan des problèmes de traduction, avant d’aborder ceux que pose spécifiquement l’American theory ». Elle explique notamment en ces termes le rôle du traducteur : « dans une France provinciale, c’est le traducteur qui établit la tête de pont entre une théorie “confinée à l’université” et l’honnête homme – celui qui lit les journaux. Or il répond à d’autres contraintes et à un autre public que ceux de l’université. Dans la traduction éditoriale et marchande, ce n’est pas le traducteur qui choisit son texte : c’est un éditeur un peu dégourdi qui comprend que la pensée s’agite chez les voisins et commande la traduction d’un ouvrage. Sont en jeu : une somme de mots, une somme de temps, une somme d’argent »1. François Bouillot pointe un enjeu crucial de la traduction en français des ouvrages traitant du genre : celui du choix des textes à traduire. Selon vous, quels rôles jouent non seulement le traducteur, mais aussi l’éditeur, notamment lorsqu’il s’agit de textes théoriques innovant dans le champ français...
Domaines
Sciences de l'Homme et Société Etudes sur le genre Philosophie Science politique SociologieFormat du dépôt | Notice |
---|---|
Type de dépôt | Chapitre d'ouvrage |
Sous-Titre |
fr
Entretien réalisé par Anne Castaing et Élodie Gaden
|
Résumé |
fr
Anne Castaing et Élodie Gaden : Dans un article intitulé « Theory et bricolage : confessions d’une traductrice », Françoise Bouillot revient, non sans humour, sur « deux ou trois points généraux dans l’océan des problèmes de traduction, avant d’aborder ceux que pose spécifiquement l’American theory ». Elle explique notamment en ces termes le rôle du traducteur : « dans une France provinciale, c’est le traducteur qui établit la tête de pont entre une théorie “confinée à l’université” et l’honnête homme – celui qui lit les journaux. Or il répond à d’autres contraintes et à un autre public que ceux de l’université. Dans la traduction éditoriale et marchande, ce n’est pas le traducteur qui choisit son texte : c’est un éditeur un peu dégourdi qui comprend que la pensée s’agite chez les voisins et commande la traduction d’un ouvrage. Sont en jeu : une somme de mots, une somme de temps, une somme d’argent »1. François Bouillot pointe un enjeu crucial de la traduction en français des ouvrages traitant du genre : celui du choix des textes à traduire. Selon vous, quels rôles jouent non seulement le traducteur, mais aussi l’éditeur, notamment lorsqu’il s’agit de textes théoriques innovant dans le champ français...
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Titre |
fr
Le genre en contexte postcolonial. Traduction et réception françaises
|
Auteur(s) |
Maxime Cervulle
1
, Karima Ramdani
2
, Anne Castaing
3
, Elodie Gaden
4
, Cornelia Möser
5, 6, 7
1
CEMTI -
Centre d'études sur les médias, les technologies et l'internationalisation
( 147868 )
- Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis - 2 rue de la Liberté - 93526 Saint-Denis cedex
- France
2
Cresppa-GTM -
Genre, Travail, Mobilités
( 443665 )
- Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris - 59-61 rue Pouchet - 75849 Paris cedex 17
- France
3
CEIAS -
Centre d'Études de l'Inde et de l'Asie du Sud
( 1325 )
- 54 boulevard Raspail, 75006 Paris
- France
4
Université Stendhal - Grenoble 3 - UFR des lettres et arts
( 96684 )
- Bâtiment D Rez-de-Chaussée - 1180 avenue centrale - Domaine universitaire - BP 25 - 38040 Grenoble Cedex 9
- France
5
CNRS -
Centre National de la Recherche Scientifique
( 441569 )
- France
6
CRESPPA -
Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris
( 439352 )
- Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris - CRESPPA (UMR7217) - 59-61 rue Pouchet - 75889 Paris cedex 17
- France
7
CMB -
Centre Marc Bloch
( 84774 )
- Friedrichstr. 191 D-10117 Berlin
- Allemagne
|
Langue du document |
Français
|
ISBN |
978-2-8076-0327-1
|
Vulgarisation |
Non
|
Audience |
Internationale
|
Page/Identifiant |
301-310
|
Lieu de publication |
Bruxelles
|
Titre de l'ouvrage |
Écrire et penser le genre en contextes postcoloniaux, Anne Castaing et Élodie Gaden (dir.)
|
Date de publication |
2017
|
Domaine(s) |
|
Éditeur commercial |
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DOI | 10.3726/b11702 |
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