Des indicateurs pour gouverner : boussoles ou miroirs déformants
Abstract
Huit études de cas ont été réalisées dans les villes de Paris (bruit), Lyon (air, bruit), Turin (air), Birmingham (air), Hanovre (air et bruit), Milan (air et bruit), Marseille (air) et coordonnées par Philippe Zittoun chercheur au laboratoire d'économie des transports à Lyon et à l'Institut d'études politiques de Grenoble. Quelles sont les conditions pour qu'un indicateur puisse être un véritable instrument de pouvoir, puisse légitimer une politique et l'aider à définir ses contours pratiques ?
SOMMAIRE :
• INTRODUCTION (Philippe Zittoun)
• LA TRANSFORMATION CARTOGRAPHIQUE DU BRUIT PARISIEN EN PROBLÈME PUBLIC (Philippe Zittoun)
• LE RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L’AIR DE LA VILLE DE LYON (Arnaud Vallin)
• LES INDICATEURS DE BRUIT À LYON (Nathalie Ortar)
• LES INDICATEURS DE LA QUALITÉ DE L’AIR TURINOIS (Alex Fubini, Stefania Ravazzi & Lisa Sutto)
• LA MESURE DE LA QUALITÉ DE L’AIR À BIRMINGHAM (Xavier Lemaire)
• HANOVRE : L’ORCHESTRATION CONTRÔLÉE D’UN SYSTÈME D’INDICATEUR DE DÉVELOPPEMENT DURABLE (Florence Rudolf)
• MILAN, ENTRE AIR ET BRUIT (Paolo Pileri, Paola Pucci)
• L’AIR MARSEILLAIS (Didier Taverne, Vincent Mandinaud)
• CONCLUSION : L’INDICATEUR, UN NOUVEL INSTRUMENT DE POUVOIR ? (Philippe Zittoun)
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