L'analyse de l'action du Ministère de l'intérieur se fait à partir de «l'application » d'une circulaire concernant la régularisation des « sans papiers ». Elle est issue d'un engagement dans le travail sur le droit réalisé au sein des permanence juridiques de l'association Droits devant !! et s'interroge sur la légitimité de l'action publique dès lors que les modalités d'écriture de normes juridiques s'apparente à une instrumentation du droit dans une logique discrétionnaire.