La privatisation de la connaissance est en contradiction avec ce que les outils de communication offrent de facilités pour accéder aux savoirs disponibles sur les réseaux. La qualification de l'accès au savoir en ligne comme bien public international répond à la demande des populations des pays en voie de développement qui n'ont pas les moyens pour s'équiper à domicile ni encore moins de payer l'accès à des contenus en ligne à des tarifs élaborés par les marchands des pays développés. Les modalités de mise à disposition des savoirs concernent des aspects techniques, informatiques et juridiques à régler. Le régime de propriété intellectuelle devrait être modifié en conséquence.