Pour l'archéologie funéraire en Gaule, la difficulté majeure réside dans l'inégalité quantitative et qualitative des données rendant difficile toute tentative de synthèse. Ce problème se pose notamment pour la question de la romanisation qui sera abordée ici du point de vue des pratiques funéraires du début du Haut-Empire (principalement du Ier siècle) en Bourgogne. Pour améliorer les données disponibles il est nécessaire de procéder tout d'abord à un bilan documentaire critique afin d'établir des priorités et des directions pour les recherches à venir.