Les Fours de potiers et bronzier de Saint-Gilles-du-Gard. Suivi de : Rapport archéomagnétique - HAL Accéder directement au contenu
Article dans une revue Bulletin de l'École Antique de Nîmes Année : 1975

Les Fours de potiers et bronzier de Saint-Gilles-du-Gard. Suivi de : Rapport archéomagnétique

Résumé

Occupant la contre-escarpe du fossé longeant le rempart protégeant la ville au nord et découverts fortuitement lors de travaux de voirie, les fours de potiers ont été dégagés avec l'aide de l'Association locale, inventrice du site. Ils ont produit de la céramique grise polyvalente (culinaire, vaisselle de table et conservation : cf. Leenhardt, Thiriot 1990). Une fosse de coulée de cloche (alors interprétée comme four de bronzier) est associé à l'activité potière. Une nécropole moderne vient recouvrir l'ensemble. Le rapport de la datation par l'archéomagnétisme signé du professeur E. Thellier fixe la fin des productions aux XIII-XIVe siècle. En 2007, la reprise des fouilles a permis d'étudier toutes les installations des potiers (cf. Carme, Thiriot 2012).
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halshs-00880330, version 1 (27-09-2016)

Identifiants

  • HAL Id : halshs-00880330 , version 1

Citer

Jacques Thiriot, Emile Thellier. Les Fours de potiers et bronzier de Saint-Gilles-du-Gard. Suivi de : Rapport archéomagnétique. Bulletin de l'École Antique de Nîmes, 1975, 10, pp.39-91. ⟨halshs-00880330⟩
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Dernière date de mise à jour le 28/04/2024
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