Ce qui gênait Simon Goulart dans le chapitre "Des prières" (Montaigne, Essais, I, 56)
Résumé
L’éditeur genevois des Essais « lyonnais » de 1595 a censuré les critiques du chapitre « Des prières » à l’égard des protestants (leur libre examen de la Bible, leur pratique familière des Psaumes), mais aussi l’emploi de vocables païens (dont « fortune ») et jusqu’à la citation poétique de clôture, susceptible d’une interprétation catholique (ara, ostia…). http://www.jstor.org/stable/20680845
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