Nouvelles données sur l’occupation romaine du comptoir protohistorique d’Espeyran (Saint-Gilles-du-Gard): découverte d’une inscription de la gens Calvia
Michel Christol
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,
Emilie Compan
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Réjane Roure
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Maxime Scrinzi
(2)
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Christophe Vaschalde
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Michel Christol
- Fonction : Auteur
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Réjane Roure
- Fonction : Auteur
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Maxime Scrinzi
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Christophe Vaschalde
- Fonction : Auteur
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Résumé
Le site d’Espeyran (Saint-Gilles, 30) a fait l’objet d’une nouvelle campagne d’étude entre 2002 et 2010, sous la forme de prospections géophysiques et de sondages limités. Ces travaux ont montré une occupation du Haut Empire dense, caractérisée par un développement des activités artisanales (productions de céramiques), avec une présence sur le site jusqu’au IVe s. ap. J. ‑C., moment où des monuments sont détruits pour être transformés en chaux dans deux fours construits en batterie. Le dégagement de l’un des fours à chaux a mis au jour un autel funéraire fragmentaire, décoré de rinceaux avec une inscription latine de la fin du Ier s. ap. J.-C., qui se
rapporte à la gens Calvia. Sont présentés les autels de même facture provenant des environs, et sont analysés les témoignages sur cette famille, déjà attestée à Nîmes et à Saint-Gilles, à laquelle on peut joindre une inscription de Sainte-Colombe (même commune) dont le texte est révisé (AE, 1978, 470).
Domaines
Archéologie et PréhistoireFormat du dépôt | Notice |
---|---|
Type de dépôt | Article dans une revue |
Titre |
fr
Nouvelles données sur l’occupation romaine du comptoir protohistorique d’Espeyran (Saint-Gilles-du-Gard): découverte d’une inscription de la gens Calvia
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Résumé |
fr
Le site d’Espeyran (Saint-Gilles, 30) a fait l’objet d’une nouvelle campagne d’étude entre 2002 et 2010, sous la forme de prospections géophysiques et de sondages limités. Ces travaux ont montré une occupation du Haut Empire dense, caractérisée par un développement des activités artisanales (productions de céramiques), avec une présence sur le site jusqu’au IVe s. ap. J. ‑C., moment où des monuments sont détruits pour être transformés en chaux dans deux fours construits en batterie. Le dégagement de l’un des fours à chaux a mis au jour un autel funéraire fragmentaire, décoré de rinceaux avec une inscription latine de la fin du Ier s. ap. J.-C., qui se
rapporte à la gens Calvia. Sont présentés les autels de même facture provenant des environs, et sont analysés les témoignages sur cette famille, déjà attestée à Nîmes et à Saint-Gilles, à laquelle on peut joindre une inscription de Sainte-Colombe (même commune) dont le texte est révisé (AE, 1978, 470).
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Auteur(s) |
Michel Christol
1
, Emilie Compan
2
, Réjane Roure
2
, Maxime Scrinzi
2
, Christophe Vaschalde
3
1
CGGRMHR -
Centre Gustave Glotz - Recherches sur les mondes hellénistique et romain
( 1338 )
- 2e étage, bureaux 211-214 6-8 Rue Jean Calvin 75005 PARIS
- France
2
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Archéologie des Sociétés Méditerranéennes
( 86793 )
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Université Paul Valéry-Montpellier 3
34199 MONTPELLIER Cedex
- France
3
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Laboratoire d'archéologie médiévale méditerranéenne
( 937 )
- 5 Rue du château de l'Horloge - BP 647 13094 AIX EN PROVENCE CEDEX 2
- France
|
Langue du document |
Français
|
Nom de la revue |
|
Vulgarisation |
Non
|
Comité de lecture |
Oui
|
Audience |
Internationale
|
Date de publication |
2011
|
Volume |
44
|
Page/Identifiant |
145-161
|
Domaine(s) |
|
Mots-clés |
en
Saint-Gilles-du-Gard
|
DOI | 10.3406/ran.2011.1825 |
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